Paris est une ville de contrastes. Sous ses façades dorées et ses avenues majestueuses, se cachent des réalités plus brutes, plus complexes. Cette série de photos, encore en construction, est une tentative de décrypter ces paradoxes : la beauté côtoie l’invisible, l’opulence frôle la précarité, et la consommation effrénée masque parfois l’essentiel.

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Dans ces clichés, la rue parle d’elle-même. Elle raconte les histoires que l’on ne prend plus le temps de regarder : les regards perdus, les vitrines qui débordent de luxe, les ombres qui se dessinent sur le bitume, les contrastes entre ceux qui ont trop et ceux qui manquent. Une ville où l’on passe sans s’arrêter, mais où chaque coin de rue, chaque graff, chaque silhouette semble murmurer une vérité cachée.

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Cette série explore Paris sous un angle plus cru, moins consensuel. Elle dévoile une capitale tiraillée entre son rôle de vitrine mondiale et sa réalité quotidienne. Une ville qui consomme, qui brille, mais qui laisse aussi derrière elle des invisibles, des silences, des questions.

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Il s’agit d’un travail en cours. Un regard que je continue d’affiner, d’interroger. Je ne cherche pas à offrir des réponses, mais à poser un cadre, à figer des instants qui nous rappellent que Paris est multiple : sublime et imparfaite, lumineuse et sombre, riche de ses contradictions.

Dans cette série, les rues sont le théâtre d’une société qui s’exprime sans filtre.